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Dossier : Médecines alternatives : la législation ambigüe

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Après un rapport publié par l’ANSES en octobre montrant une baisse spectaculaire de l’usage des antibiotiques en médecine vétérinaire au cours des cinq dernières années, le plan Ecoantibio 2 prévoit de maintenir ces bons résultats en promouvant, notamment, les méthodes de soin alternatives. Problème : selon les méthodes thérapeutiques utilisées, la législation a de quoi faire tourner la tête.

Au programme de ce dossier, retrouvez différents articles, interviews, reportages... :

  • Médecines alternatives : on veut ou on veut pas ?
    Le plan Ecoantibio 2 est clair. Au vu des bons résultats obtenus dans le cadre du plan Ecoantibio 1, il faut désormais faire tout ce qu’il faut pour éviter de régresser de nouveau. Tout ? Oui, mais…

  • " Le but de la législation est de faire en sorte qu’il y ait un véritable réseau de santé animale "
    Fanny Bastien, vétérinaire-conseil au GDS 04

  • " La législation a été faite par des gens qui n’y connaissent rien "
    Michel Thouzery est producteur de plantes aromatiques et médicinales en Ariège. Il sera sur le département des Alpes de Haute-Provence à la fin du mois pour assurer des formations d’initiation à la phytothérapie organisées par la Chambre d’agriculture 04.

  • L'homéopathie vétérinaire séduit de plus en plus malgré une efficacité à prouver
    Alors qu'une récente polémique a de nouveau enflammé la médecine au sujet de l'efficacité de l'homéopathie, cette « thérapie alternative » séduit de plus en plus d'éleveurs. Pas seulement en agriculture biologique où elle est recommandée, mais aussi en élevage conventionnel. Son développement témoigne d'une volonté d'un nouveau rapport à l'animal.

  • « En tant que producteurs, on est toujours potentiellement dans l’illégalité »
    Le syndicat SIMPLES milite pour la mise en place d’une législation favorable aux petits producteurs de plantes médicinales. Jean-François Roussot est le porte-parole du syndicat dans les Hautes-Alpes.

  • A la base de la santé animale : les conditions d’élevage
    Alors que la filière porcine est connue pour figurer parmi les plus consommatrices d’antibiotiques, cela fait longtemps que le Montagnard des Alpes a cessé de les utiliser à titre préventif.

  • Focus : Le risque de désert vétérinaire inquiète les éleveurs du Pays de Seyne !
    Le seul vétérinaire du Pays de Seyne a pris sa retraite sans avoir trouvé de successeur.


Téléchargez le dossier complet de l'Espace Alpin n°313 du 17 novembre